Nous sommes des Tadjiks qui résident en France et des amis français du Tadjikistan. Nous vivons dans l’angoisse depuis que nous avons appris que des affrontements sanglants avaient eu lieu à Khorog, capitale de la région autonome du Gorno-Badakhshan. Les liaisons téléphoniques et par Internet ayant été coupées, nous sommes sans aucune nouvelle de nos familles et de nos amis qui vivent à Khorog ou dans les villes et villages de la région.
Nous demandons au gouvernement du Tadjikistan de rétablir au plus vite les communications entre le Gorno-Badakhsan et le reste du monde.
Bertrand Renouvin
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